Parce qu'elle a été asservie aux jeux quotidiens de la spéculation financière, l'économie réelle est menacée de déroute. Pourtant, elle ne se porterait pas plus mal qu'avant, si l'économie imaginaire chaotique, hypernerveuse et spéculative était jugulée par un encadrement régulatif et des sanctions dissuasives. Malheureusement, cela prend un consensus international des États qui s'annonce inaccessible. Le mal dominant vient de là.
lundi 25 juin 2012
dimanche 24 juin 2012
Que nous dit l'art de l'économie?
samedi 23 juin 2012
jeudi 21 juin 2012
L'économie de l'illusion
La crise économique actuelle, essentiellement d'origine financière, née de la déréglementation et des abus de la spéculation, c'est celle de l'économie imaginaire, qui a eu un impact dévastateur sur l'économie réelle. Elle doit beaucoup à la digitalisation électronique des bourses, à la planétarisation immédiate de l'information financière, au ludisme de l'informatique et à l'engouement pour une monnaie dématérialisée.
Pour remédier à la crise actuelle - et cela prendra du temps -, c'est à l'économie imaginaire qu'il faut s'attaquer, en la régulant. Elle a perdu le sens du réel. Aujourd'hui, à force de voler dans l'apesanteur ludique des grands jeux financiers, elle a reçu du plomb dans l'aile, mais cela ne suffit pas. Il faut l'attacher au sol.
mercredi 20 juin 2012
La déroute annoncée de Facebook
Contrairement à Google, Microsoft ou Apple, Facebook ne développe pas de produits nouveaux, ni de nouvelles technologies. Il est dysfonctionnel parce que obèse et non spécifique. Il ne respecte pas la vie privée de ses usagers. Il est volatile.
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